Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La dernière lueur
12 mars 2019

La cyber guerre a commencé

La ministre des Armées Florence Parly a prononcé un discours majeur sur la stratégie cyber des armées, ce vendredi à Paris, dans un amphithéâtre rempli de responsables militaires et civils, y compris de pays alliés. « La guerre cyber a commencé et la France doit être prête à y combattre », a-t-elle affirmé, précisant qu'« aujourd'hui, la France choisit de se doter pleinement de l'arme cyber pour ses opérations militaires ». « Nous renforçons nos effectifs et d'ici 2025, nous compterons 1 000 cybercombattants supplémentaires », a-t-elle assuré. Ceux-ci seront répartis au sein du commandement de la cyberdéfense (Comcyber), de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et de la Direction générale de l'armement (DGA). « Nous renforçons les moyens avec 1,6 milliard d'euros investis pour la lutte dans le cyberespace », a-t-elle ajouté. « Si des attaques ont pu porter atteinte à des infrastructures physiques, en Ukraine ou en Iran, elles n'ont pas encore réussi à provoquer des dommages massifs et durables à des économies et à des sociétés. Brune Poirson, secrétaire d'État à la Transition écologique, a reçu une dizaine d'enseignes de fast-food, parmi lesquelles figurent McDonald's, Starbucks et Burger King, ce jeudi 31 janvier révèle Le Parisien. Objectif affiché, les rappeler à l'ordre sur la gestion de leurs déchets. État, dans les colonnes du quotidien francilien. AFP, au terme de la réunion. Cette réunion faisait suite à des contrôles effectués par les équipes du ministère dans une cinquantaine de salles de restauration rapide sur l'ensemble du territoire français. Selon la secrétaire d'État, "aucune" d'entre elles n'était en "conformité totale" avec la réglementation sur le tri des déchets. Elles ne proposaient pour la plupart "même pas" une infrastructure le permettant. Brune Poirson a rappelé qu'il existait des "moyens de pressions très clairs" contre les mauvais trieurs, des amendes, mais aussi "des sanctions pénales qui peuvent aller jusqu'à des peines de prison". Dominique Bénézet, délégué général du syndicat national de l'alimentation et de la restauration rapide à l'issue de cette réunion, tout en concédant qu'il y avait "des efforts à faire".

Publicité
Publicité
Commentaires
La dernière lueur
Publicité
Archives
Publicité